Quelques longs mois après notre première entrevue avec un jeune journaliste, nous avons eu le plaisir d'avoir de ses nouvelles et il est revenu nous voir pour un nouvel entretien. Nous lui laissons la plume. Son journal officiel n'ayant toujours point envie de parler du divin, car ce n'est pas dans sa ligne éditoriale, nous continuons de publier sur notre site ses textes, avec joie.
Nous voilà 11 mois après ce premier entretien qui a bousculé ma vie. Je sors tout juste d'une sorte de grand tunnel dans lequel j'étais entré par la suite et duquel je ne suis pas totalement encore sorti.
- Moi : Bonjour à vous.
- Eux : Bonjour à toi, cela nous fait bien plaisir de te revoir !
- Moi également.
- Eux : Nous t'écoutons.
- Merci. Voici ma question : en ces temps mouvementés en France, comment voyez-vous tout cela et comment vivez-vous tout cela ?
- Elle : Avant de te répondre, peux-tu préciser le contexte de ta question ? Qu'est-ce qui t'a amené à nous la poser ?
- Oui. Tout à fait. J'ai continué à vous lire au fil de vos écrits. Et j'ai continué à faire
l'Ascension vers le Divin
. J'ai lu tout ce que vous avez écrit à cette date, et je m'efforce de suivre vos conseils et exercices. Je suis très émerveillé par l'engagement et l'énergie qui s'en dégage et j'avoue que c'est un livre vivant et bien dynamique qui mérite d'être recommandé, non seulement dans les systèmes académiques et aussi dans les associations. Il devrait être représenté dans tous les coins du monde afin que les sombres mœurs soient atténuées, voire même abolies.
- Elle : Merci. Il est rare encore d'avoir un tel retour.
- Ah ?
- Lui : Oui, c'est un vaste sujet. Souhaites-tu ouvrir cette page ou continuer sur ta lancée initiale ?
- Merci pour la question... Je continue pour le moment. Donc je vous avoue que tout cela a changé de fond en comble ma vie. Et je vous en remercie. Depuis, mes préoccupations sont de plus en plus loin de ma vie profane, et j'envisage de grands changements. De l'autre, comme je suis encore actif dans cette vie-là, notamment avec mon métier de journaliste, je me rends compte de tellement d'absurdité autour de moi... Et j'ai l'impression que cela va de mal en pis. Autour de moi mes collègues font comme hier, comme s'il ne se passait rien pour eux. Ils couvrent la campagne électorale en cours, la géopolitique, sont comme totalement absorbés par quelque chose que je n'arrive pas à comprendre... Ils suivent la propagande et j'ai beau leur donner une autre perspective pour regarder ce monde, au mieux ils me regardent perplexes avec un regard étrange, et je me demande alors s'ils ne sont pas en train de se dire que je suis totalement con. Pardonnez ce mot, mais c'est le bon.
- Lui : Il n'y a pas de mal. Oui.
- Merci. Et au pire ils ricanent en disant qu'il faudrait faire attention, que je suis en train de devenir "complotiste". Même mon boss m'a demandé de modérer mes propos autour de la machine a café et auprès de mes collègues, avec une menace à peine déguisée en sous-entendu. J'ai bien compris le message et c'est pour cela que je vais quitter ce navire. J'ai de toute manière l'impression qu'il coule à pic, comme le Titanic. Et pas que cette entreprise d'ailleurs, mais tout le pays.
- Lui : Tu observes quelque chose de juste ici. Il coule bien comme cela.
- D'où ma question. Comment vivez-vous tout cela ?
- Elle : Merci pour cette mise en contexte. Nous cernons mieux ta question. Et plus elle sera précise mieux nous pouvons répondre. Comment vivons-nous dans ce contexte ? En retrait et en observation. Tout en se demandant s'il est juste de l'observer encore ou de s'en désintéresser totalement.
- Comment cela ?
- Lui : Tu connais ce que les physiciens quantiques ont observé depuis bien longtemps : que l'observateur influence ce qu'il observe ?
- Oui. Cela m'a toujours étonné et je me demande souvent comment cela est possible et ce que cela signifie, au-delà de l'échelle d'un photon.
- Lui : Reprends l'expérience du photon. Lorsqu'il n'est pas observé, il disparaît, il est dans le non manifesté, c'est une onde vibratoire qui se propage dans toutes les directions autour de son point d'émission. Lorsqu'il est observé il se manifeste, il est matière, comme un tout petit grain de sable, et sa trajectoire est alors en cohérence avec un grain de matière.
- Oui. C'est ainsi.
- Lui : Eh bien c'est pareil pour l'humanité. Il y a un grand être "tout là haut" qui l'observe, et comme elle est observée, elle se manifeste sous la forme de ce que tout le monde voit et touche sur Terre. Et si cet être se désintéressait de l'humanité et décidait de regarder ailleurs, eh bien tout ce que tu vois sur Terre retournerait à l'état non-manifesté, d'onde invisible. Elle disparaîtrait.
- Eh beh ! C'est assez vertigineux comme information !
- Lui : Considère-là...
- ... comme vraie jusqu'à ce que quelqu'un me prouve éventuellement que ce serait faux ! Oui, merci pour cette clef, car c'est celle qui m'apaise le plus dans mon chemin.
- Lui : D'où notre questionnement. Parfois on ne regarde plus toutes ces nouvelles de ce que nous nommons entre-nous "l'ancien monde". Cela nous repose. Il ne disparaît pas pour autant car nous ne sommes pas ce grand-être-là, mais à l'échelle de l'humanité si tout les gens qui désirent que ce système absurde s'arrête s'en désintéressaient du jour au lendemain, eh bien oui, il disparaîtrait de lui-même.
- Comment cela ?
- Elle : Regarde ton journal. De quoi parle-t-il ?
- Des événements de ce monde fou.
- Elle : Et les autres journaux ? Et la télé ? Et les radios ? Et les gens sur les réseaux sociaux ?
- De conflits, de guerres, d'oppositions, des gens qui luttent contre... C'est pesant, c'est plombant, exténuant. Même si, bien rarement, je vois un petit post qui parle d'amour et qui redonne espoir, il n'y a que les guerres, les sombres crimes et les problèmes qui sont relatés. Celles entre les pays, celles pour dénoncer les coulisses des administrations, des harcèlements, des crimes... Tous sont sur le registre de la guerre. Si la guillotine existait encore, il y en aurait beaucoup qui seraient en train d'être hissées sur les places dans les villes et les villages. Je m'en attriste. C'est désespérant !
- Lui : Réjouis-en toi, bien au contraire !
- Ah ?
- Lui : Oui, c'est l'effondrement, le déclin inévitable d'une civilisation occidentale qui a vécu son apogée. C'est le cycle de la vie. La naissance, la croissance, l'apogée et le déclin, la mort, ensuite la renaissance et cela recommence. Mais sur plusieurs milliers d'années à l'échelle d'une civilisation.
- L'occident vit donc son déclin ? Oui, c'est juste. Et il va disparaître comme les cités des Mayas par exemple ?
- Lui : Certainement. Regarde l'Asie par exemple. Ces temples qui sont abandonnés et qui illustrent un âge d'or grandiose, aujourd'hui ils sont en ruine dans les villes aux architectures bien laides en comparaison. Ces cubes de béton armés, ces bâtiments qui bloquent la circulation des énergies, des matériaux mortifères, des bidonvilles sur des hectares et des hectares. Oui, cette belle civilisation antique a connu son âge d'or et a décliné et est morte. Il y a une nouvelle société qui vit à cet endroit, et qui est en train de grandir doucement.
- Quel avenir donc pour l'Occident ?
- Lui : Nous verrons bien. En tout cas ce n'est pas cette civilisation qui va connaître une nouvelle apogée. Au sens où ce n'est pas l'Occident qui va être le continent qui va éclore et devenir un phare pour le reste de l'humanité pour les 2000 prochaines années à venir.
- Ah bon ? Et ce sera lequel désormais ? Qui sont les "heureux élus" ?
- Lui : Nous ne le dirons pas ici. C'est déjà visible, beaucoup de gens le voient déjà. Nous ne le dirons pas car c'est à chacun de faire le chemin pour le voir par lui-même.
- Ah ! Oui, je pense que je sais de quel pays il s'agit. Puis-je vous le dire en privé ?
- Elle : Oui.
Je leur partage mes observations et ils me confirment ce que j'avais observé.
- Merci. Cela fait du bien de savoir que je ne suis pas le seul à voir le monde ainsi. Et cela m'amène à l'autre partie de mon introduction. Ces gens qui sont totalement bouchés et qui me semblent totalement bêtes également... Figés. Ceux qui ont atteint un certain seuil de compréhension essayent de secouer les autres, ceux qui dorment, et ces derniers se moquent d'eux en disant qu'ils n'ont rien compris alors que c'est totalement l'inverse. Il me semble qu'il n'y a plus que des extrèmes.
- Lui : Peux-tu développer ?
- Oui. Sur les réseaux sociaux, il y a ceux qui développent un argumentaire intelligent et qui disent en général la vérité, ils voient clair. Et ceux qui racontent n'importe quoi, sans aucun arguments, même si parfois c'est joliment dit, et souvent ils disent l'inverse de la vérité. Mais peu de gens se disent quelque chose comme "Je n'y vois pas vraiment clair, c'est interessant ce que vous dites, pourriez-vous approfondir ?", à ceux de l'autre coté. J'ai essayé d'expliquer à des gens inversés qu'ils se trompaient et ils me rétorquent que c'est moi qui suis totalement à côté de la plaque. Comme s'il n'y avait pas moyen de leur faire voir le monde à l'endroit.
- Elle : Oui, c'est un renversement radical.
- Lui : et la fin de la décantation.
- De la décantation ?
- Lui : Oui, c'est ce que nous avons observé ces dernières années. Les gens qui arrivent à voir le monde tel qu'il est montaient de plus en plus haut. Les endormis descendent de plus en plus bas. À l'image d'une réaction chimique de précipitation.
- C'est à dire ?
- Lui : C'est un peu comme si toute l'humanité était hier secouée dans un récipient avec différentes particules. L'ensemble dissout, flottant dans une sorte de brouillard, dans lequel les choses sont difficiles à voir, difficiles à discerner. Le mal peut s'y cacher, le bien ne s'y voit guère non plus. Le jeu, pour un être humain, c'était de sortir de cette masse floue. Depuis quelques années on observe que ce mélange coagule. Il y a ceux qui flottent dans le liquide purifié et clair, et ceux qui sont pris dans le précipité coagulé, solide et opaque. Les premiers voient clairement le monde tel qu'il est. Les autres sont engluées dans cette matière dense ils ne voient plus rien du tout.
- Ah ! Oui, cette image me parle bien !
- Lui : On peut prendre une autre image également. Celle de deux électrodes qui auraient été plongées dans un récipient vertical. L'une en haut, une anode (-) et l'autre en bas, une cathode (+), et on allume le courant. L'anode attire en haut les particules positives, correspondant à ceux qui ont réussi à être suffisamment positifs. Les autres sont attirés de l'autre côté, vers le fond, ceux qui sont bien négatifs. Dans ce mouvement, les positifs ont la tête vers le haut, les négatifs ont la tête vers le bas, tout en ayant l'impression d'avoir la tête en haut. Chaque groupe dit à l'autre qu'il a la tête à l'envers.
- Ah ! C'est clair également ! Amusant !
- Lui : Oui, il vaut mieux le voir ainsi. Amusant plutôt que de s'en attrister.
- Ah ! Oui, voilà qui est bien mieux. Je me sens déjà beaucoup mieux ! Merci.
- Lui : Continue de voir le positif en toute chose, tu vivras une vie beaucoup plus douce, belle et paisible.
- Merci du conseil. Alors que va-t-il se passer ? Est-ce que tout le monde va se réveiller ?
- Lui : Non. C'est fini. N'observes-tu pas qu'il ne se passe plus rien ? Que chacun tourne en boucle sur ses positions ? Qu'il n'y a plus grand monde qui change de bord ?
- Si... Je vois aussi des gens éveillés qui continuent de lutter contre le pouvoir et d'essayer de réveiller ceux qui dorment... Eux-aussi cela semble les occuper en boucle. Je leur avais partagé vos articles
"Aimez-vous les uns, les autres"
,
"L'homme est un loup pour l'homme"
et
"Œuvrez pour"
, et ils m'ont ri au nez...
- Lui : De quel côté sont-ils alors de ton point de vue ? Dans le précipité ou libres dans le liquide pur ?
- Certains, les plus agressifs me semblent dans la mélasse, mais certains me semblent dans le clair, mais... c'est comme s'ils étaient à la frontière, les pieds ou les mains englués dedans, voire plus pronfondément, comme un oiseau englué dans une marée noire.
- Oui, c'est bien dit. Nous voyons cela également. Des personnes qui luttent encore en vain contre, plutôt que de tout lâcher afin de pouvoir remonter à la surface. Ils sont en train de vouloir, avec leurs petits bras, empêcher le Titanic de couler...
- Je vois, c'est peine perdue. Que faudrait-il leur recommander alors ? De tout lâcher ?
- Elle : D'où notre question. Faut-il encore regarder ce théâtre s'effondrer où s'en désintéresser totalement ? Nous aimerions leur dire : "Éveillés du monde, sortez du jeu ! Le monde s'effondre et vous risquez de périr sous les décombres, de couler avec le Titanic !". Nous observons beaucoup de gens qui s'éloignent et qui sortent du jeu. D'autres continuent d'espérer que la situation évolue... Mais espérer que les forces involutionnaires évoluent, c'est comme espérer qu'une tonne de plomb flotte à la surface de l'eau.
- Alors que va-t-il se passer ? Nous ne pouvons pas construire une nouvelle société avec deux camps aussi opposés.
- Lui : Non, effectivement. C'est impossible. Que va-t-il se passer ? Maintenant que tu as le précipité, que tu as séparé les gens bien négatifs des gens bien positifs...
- ... Ah ! C'est comme trier le bon grain de l'ivraie ?
- Lui : Oui...
- C'est l'heure de la moisson...
- Lui : Oui.
- Du jugement dernier collectif ?
- Lui : Oui.
- C'est pour cela que Jésus disait "Choisis ton monde !".
- Lui : Oui. Et les gens ont choisi. Le renversement est radical, au moment de la bascule finale, point de marche arrière possible.
- Et il aura lieu quand ?
- Elle : Cela, Dieu seul le sait. Ce sont les Lois de la Nature et de l'Univers qui sont à l'œuvre. Les énergies font leur œuvre. Nous, pauvres humains incarnés sur Terre sommes bien peu de choses. Ni toi ni nous ne pouvons retenir un Titanic en train de couler.
- Je vois. Alors que recommander ?
- Elle : Expliquer à tous ceux qui souhaitent un nouveau système d'arrêter de lutter contre l'actuel. D'arrêter de chercher à obtenir une juste justice dans un monde corrompu et injuste. D'arrêter de le regarder. Ceux qui sont encore aigris par ce système et qui s'énervent pour demander la justice, y perdent toute leur énergie, car ce système est ainsi nourri. Demander justice à des vampires c'est comme si tu leur demandais gentiment de recracher le sang qu'il t'ont pris. Vont-ils gentiment te dire "Mais oui, je reconnais mes torts, voici ton beau sang bien propre, je te le rends."
- Oui, c'est bien impossible. Il l'a déjà consommé pour qu'ils tiennent debout. Pourquoi restent-ils alors dans ce jeu qu'ils dénoncent pourtant souvent ?
- Elle : Car il est bien plus facile mentalement et confortable matériellement d'y rester, de se conformer et donc de le subir, tout en le dénonçant. "C'est la faute à l'Autre ! Au système !", rejetant ainsi la responsabilité sur le système et ses dysfonctionnements. Il est nécessaire d'avoir du Courage et de la Volonté et d'être capable d'assumer sa Responsabilité pour pouvoir penser et vivre librement. Courage, Volonté, Responsabilité, Liberté... Comme nous l'avons déjà souvent dit, la Liberté est indissociable de la Résponsabilité. Nous l'avons déjà écrit aussi,
le chemin du mal est plus facile que celui du Bien
, c'est subtil. À un moment donné, et c'est l'heure de le faire, nous allons tous devoir choisir entre la facilité et la droiture.
- Alors comment faire ?
- Elle : Laisse les Lois s'en occuper. Le bon grain est identifié, l'ivraie également. Profite de la vie, prends le large loin, un nouveau monde est en train d'émerger des eaux-claires. Si tu croises quelqu'un sur ton chemin et qui est encore aux prises avec l'ancien monde, tu peux lui dire de te suivre, mais ne l'attends pas s'il préfère continuer de s'entêter là-bas. C'est comme le serre-file lors d'un incendie dans un immeuble. Son rôle est d'inviter les gens à quitter le bâtiment qui brûle, mais en aucun cas d'attendre que les gens qui veulent finir d'écrire un mail important en disant "c'est encore un exercice d'évacuation !", se décident à partir alors qu'il sera trop tard. Non. Le serre-file fait un dernier tour et il s'en va loin des flammes, au point de rendez-vous.
- Effectivement, cela est sage. Et où est le point de rendez-vous ?
- Elle : Au calme, dans les campagnes, un peu en hauteur, dans les montagnes. Loin des villes si possible. Un coin paisible et ressourçant. Là tu verras bien comment construire autre chose. Écoute ton cœur, ton intuition, les synchronicités, les rencontres, et tout se passera bien pour toi.
- Malgré l'effondrement ?
- Elle : Oui.
- Comment le savez-vous ?
- Elle : Car il a été dit et redit que pas un seul des cheveux ne sera touché de la tête des justes, et que tu es un juste. Et sans savoir précisément par quelle magie cela est possible, eh bien nous disons que cela est vrai jusqu'à ce que l'on nous démontre que cela serait faux. Et jusqu'à présent tous les justes que nous avons croisés confirment sans exception cela. Donc les justes qui choisissent de se mettre à l'écart trouvent actuellement un havre de paix. Ceux qui décident de rester dans l'incendie de ce monde qui s'effondre, ce sera probablement bien plus mouvementé pour eux.
- Choisir son monde.... Je comprends. Merci ! Il ne me reste plus qu'à démissionner.
- Elle : Sois délicat et prépare bien ta sortie, car les gens qui se libèrent, ceux qui se sentent abandonnés préfèrent les détruire que de les voir partir. Donc si tu peux le faire à distance, sans y retourner, c'est préférable.
- Merci du conseil ! Je vois oui, cela a commencé d'ailleurs autour de moi. Il y a des gens qui ont déjà senti, flairé, que j'allais partir et cela ne semble pas leur convenir.
- Lui : Oui, c'est leur instinct animal, certains ont un flair aiguisé... Ils captent ton intention, ta vibration...
- Ah ? Comment cela ?
- Lui : Tu le liras dans ce que nous sommes en train d'écrire dans l'Ascension vers le Divin... Tu connais Harry Potter ?
- Oui.
- Lui : Eh bien il est l'heure pour toi de t'exercer à "l'occlumancie".
- De fermer l'accès à mes pensées ?
- Lui : Oui... D'en dire le moins possible, à personne, et de mettre dans tes pensées des pensées écran. Ne pense pas "Je vais poser ma démission", mais mets l'image dans ton esprit de ton prochain interview pour la campagne électorale, dans une circonscription à la campagne. Ainsi tu maquilles ton déplacement prochain par une information similaire mais dans une autre direction.
- Je brouille les pistes vibratoirement. Je vois. Merci du conseil !
- Eux : Au plaisir. Bon voyage !
- Merci.
Voilà, c'est ainsi que je les ai quitté, le cœur léger et plein d'entrain ! J'ai depuis quitté le Titanic et effectivement découvert assez rapidement un bel endroit au calme. J'ai pris mon envol et au-dessus des nuages, le Soleil est radieux !
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